INNOVATION
Les nouveaux casques pour cyliste adopte la technologie MIPS. Elle est issue de près de vingt ans d’études et de recherches. Par Serge Klébairt
La technologie MIPS envahit peu à peu les rayons de casques vélo au travers de marques emblématiques telles que Giro, Bell, Abus, Lazer, Bontrager, ou encore MET.
Pour les férus de cyclisme et les plus observateurs, vous n’avez pas pu passer à côté de ce petit logo jaune arboré sur la majeure partie des casques que portent les cyclistes pro. Lors d’un choc, le système MIPS a la capacité d’absorber l’énergie de l’impact en faisant glisser la couche interne et la calotte externe du casque entres-elles. Cela aura pour principe d’amortir et donc de prévenir de l’impact.
Ensuite la liberté de mouvement qu’octroie ce système permettra aux forces rotationnelles de mieux se dissiper. Et ainsi épargner notre cerveau, qui n’entrera pas en collision contre notre boîte crânienne. Les statistiques montrent que lorsque nous chutons à vélo ou que nous nous cognons la tête, il est plus fréquent de tomber de biais que de façon linéaire (perpendiculairement au sol). La société MIPS revendique que sa technologie réduit le risque de lésion cérébrale.
Alors, doit-on acquérir un casque doté de cette technologie ? La réponse est oui car, tout ce qui peut améliorer la sécurité des cyclistes, ne peut être négligée. Et s’il faut mettre 20 € de plus dans l’achat d’un casque qui peut vous sauver la vie, faites-le sans hésitation. C’est le conseil de la Team FSV
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